Kerenn Elkaïm, Livres Hebdo (avant-critique)
« Céline Lapertot écrit à la pointe d’un couteau, trempé dans les larmes qu’elle n’a pas pu verser. La beauté des phrases tranche avec l’horreur d’un puissant traumatisme. Elle nous convie d’ailleurs à « la naissance d’un écrivain », qu’on se réjouit de voir grandir à ce point. »