Le Goût des Livres
« Ce sont 96 pages que l’on lit le cœur serré, il n’y a pas de faux-semblant dans ce récit, mais il est aussi porteur d’espoir et de beauté par d’autres aspects, celui où l’auteure évoque son rapport à l’écriture et aux livres et son parcours semé de violences et de patients apprentissages. »