Alain Nicolas, L’Humanité
« La Main de Joseph Castorp propose une chaîne d’histoires dans l’histoire, tragiques, burlesques, où l’horreur côtoie le comique, sans qu’on puisse trancher entre fascination pour le malsain et salubre mise à distance. L’auteur montre, outre une virtuosité dans la trame narrative, un sens sans défaut du rythme de l’écriture. [...] Et le lecteur, définitivement envoûté par le diabolique João Ricardo Pedro, de se cramponner au livre en courant jusqu’à la fin, en espérant que lui sera longtemps conservé le plaisir de l’attente. »