Renaud Junillon, Page des libraires
« La force de La Main de Joseph Castorp réside aussi dans sa construction, les chapitres semblent animés d’une vie autonome, comme des sortes de nouvelles ou de micro-fictions tour à tour tragiques, tendres, drôles, fantasques, qui apparaissant comme autant d’indices permettent de s’approcher de la résolution de l’énigme. Comme un écho aux lettres qu’envoie Policarpo pour raconter le monde tel qu’il le voit. »