En attendant Nadeau
« Dans ses imperfections et ses absolus, son refus de se prendre au sérieux et sa soif d’éternité, le récit fait fond sur une impureté violente où haut et bas, Occident et Orient, ne se distinguent plus […]L’élan pasticheur de Chomenidis est salubre dans un pays où les musées poussent plus vite que les hôpitaux publics. L’écrivain plaît à une société préférant parfois rire de son histoire inépuisable et mouvementée. Roman de la désillusion, Le Phénix, tout années 1920 qu’il soit, a le goût de cette amertume postmoderne. »