Véronique Rossignol, Livres Hebdo (Avant-critiques)
« Derrière ces comportements sinon absurdes du moins fantaisistes, Tavares trouve une nouvelle mise en forme des questions qui hantent son œuvre : les situations de choix moral, la lecture géométrique du réel, la frontière équivoque entre la folie et le rationnel [...] Pour Matteo a perdu son emploi, comme pour tout autre livre de ce professeur d’épistémologie, le lecteur doit accepter de se laisser désorienter. »