Libération
« Dans son journal, en 1933, Virginia Woolf raconte qu’elle est restée éveillée toute la nuit, avide de finir Mémoires de jeunesse […] dès sa sortie, un succès fou. […] L’effet décrit par Woolf reste garanti […] Plaisir de lecture au souffle romanesque, au style puissamment incarné par une personnalité sensible et frondeuse, texte saisissant ».