Sean James Rose, Livres hebdo
« Comment mieux traduire l’absurdité du réel si ce n’est en mettant en scène des situations apparemment sans queue ni tête, en imaginant des fictions entre cocasserie dada et cruauté surréaliste ? Le vernis disparate dissimule le bois précieux d’une esthétique fort cohérente – une poésie bordée d’inquiétude. »