Baptiste Liger, Lire
« À travers ces deux fables, Gonçalo M. Tavares paie son tribut à Franz Kafka et Robert Walser. Le verbe "être" trouve ici sa place quasiment dans chaque phrase, comme pour mieux aller à l’essentiel. La sécheresse de ton, stupéfiante, révèle un monde où les repères moraux ont perdu sens et où l’humain, asservi par sa technologie, n’est autre que "du matériel pensant". Des machines à vivre, en quelque sorte. »