Antoine Perraud, La Croix
« Sa puissance relève de l’orchestre symphonique. (...) À quoi rime ce poème en prose ? À nous faire prendre conscience qu’il faut lever le nez, changer de cap, sauter sur les occasions qui nous feront larrons, tendre l’oreille aux folies des bas-côtés, si nous ne voulons pas finir comme des gibiers de chemins tout tracés. (...) En nous accrochant aux basques de Bloom, ce barbare en barbarie, Gonçalo M. Tavares, par la grâce de la littérature, met son veto à l’ensauvagement du monde. Il a composé, ordonnées en dix chants prodigieux, mille cent deux strophes pour conjurer la catastrophe. »