Sylvie Bressler, Esprit
« Le charme d’Une soirée chez Claire tient en la fragilité du regard que le narrateur porte sur son amour. Une forme d’innocence l’engage à se perdre dans ces élans de l’âme que deviennent ses souvenirs, loin de la construction identitaire à laquelle il aspire : "J’étais déjà à l’extérieur de mon existence". »