Unidivers
« Une histoire bouleversante, une plume introspective pour ce douloureux roman sur la reconstruction d’êtres meurtris. »
Centre France
« Un livre qui percute, réussi, indéniablement. »
Librairie du Leclerc Citadis Rouen
« Surprenant et brutal ».
Le Télégramme
« Un roman sombre […] mais éclairé par l’amour pudique que se portent Victor et Ma, par la soif de vivre aussi de ce jeune homme. »
L’œil d’Olivier
« Un deuxième roman comme une promesse […] une plume introspective, lucide, littérale[..] Un roman bref qui pourtant prend son temps pour saisir, attraper aux tripes. La claque, l’uppercut, se mérite. Le K.O. n’en est que plus sidérant ! »
La Dépêche du Midi
« Thomas Oussin nous tient en haleine dans un livre à la fois oppressant et bouleversant ».
Le Monde des Livres
« Délivrant par fragments le récit asphyxiant de l’interminable captivité des jeunes êtres, jusqu’à son terrible dénouement, Thomas Oussin […] va plus loin dans son approche de ces drames dont dépend l’éclosion de l’adulte, fragile ou fort, cicatrisé ou non ».
« Sous couverture », RTBF
« C’est un livre terrifiant, glaçant ! »
Lire
« Davantage psychologique que le premier livre de l’auteur, À double tour cache une intrigue au dénouement effroyable. »
The Unamed Bookshelf
« Ce qui m’a frappée dans ce texte, c’est la façon dont le narrateur parle de sa mère […] comme l’auteur cherchait à suggérer une bipolarité du personnage […] Peut-on, doit-on continuer à aimer d’un amour filial ceux qui nous font du mal ? »
Billie72, Babelio
« Encore un pari réussi avec ce petit roman […] bouleversant de justesse et de réflexions sur la culpabilité, l’infamie et le pouvoir de résilience de jeunes enfants. »
La Provence
« Une écriture très cinématographique »
Télé 7 jours
« La plume séduisante de Thomas Oussin nous invite à dévorer ce roman noir et inquiétant, qui interroge une maternité flirtant avec la folie. »
Blues&Polar
« Voilà un livre qui se lit d’une traite car l’histoire est poignante, mais aussi glaçante. »
Les Echos
« Un texte poignant qui laisse des traces durables dans la mémoire du lecteur. »
Femme Actuelle
« Aujourd’hui on use et on abuse du mot « résilience », mais dans ce roman, loin de tout sensationnalisme, il a toute sa place. »
Libération
« [Un] récit sans colère mais empreint d’une légitime incompréhension. »
La Fringale Culturelle
« Une nouvelle plume littéraire à suivre dont le sujet de prédilection est le drame social. »
Le Magazine de Sophie Davant
« Après Soleil de juin, on dévore ce nouveau roman noir inquiétant et obsédant de cet écrivain prometteur. »