Astrid de Larminat, Le Figaro littéraire
« Ses personnages sont comme des poupées russes que les événements écorchent sans qu’on n’en puisse jamais saisir le fond. L’histoire d’Étienne et Irène est particulièrement machiavélique, mais ne sont-ils pas l’un et l’autre des marionnettes prédestinées par les événements qui eurent lieu trois siècles auparavant ? Ceux qui croient tirer les ficelles dans l’ombre seraient-ils eux-mêmes les jouets de quelque chose qui les dépasse ? Une belle mise en scène baroque, agréablement romanesque. »