Gilles Heuré, Télérama
« Cette belle histoire d’amour, plongée dans les convulsions de la guerre, est emplie de silences et de fureur. L’eau, celle de la pluie, celle de la rivière Nam Youn ou de l’océan qui sépare l’Indochine de la Bretagne de Yann, y symbolise ce qui est à la fois fugace et éternel. Écrit par une jeune femme d’origine vietnamienne (...), ce beau roman bref parvient à associer la splendeur et la douceur d’un pays à la violence d’un conflit qui le ravagea totalement. »