Christine Ferniot, Lire
« Dans ce roman d’anticipation sociale et culturelle, Cécile Coulon a imaginé le livre comme une arme de destruction massive et la culture de divertissement comme le pire des régimes politiques. En cent trente pages serrées, elle distille une angoisse grandissante avec son antihéros, ce grand blessé qui ne sait ni rire ni lire. »