Sabine Audrerie, La Croix
« Servie par une conviction romanesque maîtrisée à renfort de détails, d’images et d’intelligence. De livre en livre, elle traque l’impossibilité à être au monde, l’obsession des hommes à rechercher une appartenance. [...] La finesse de son développement tient au dévoiement de la littérature, devenue plus qu’un produit de consommation, comme peut-être en 2013 les flots d’images servis par nos télévisions. »