Amaryllis Bosson, Le Courrier
« Ce roman dystopique est au service d’un projet critique : interroger notre rapport à la mémoire, à la fiction, à la réalité[…] Ce miroir critique tendu aux sociétés contemporaines révèle la complexité des processus de construction et d’enfouissement mémoriel, et les risques que l’on court en jouant avec la vérité. »