Bernard Quiriny, L’Opinion
« Saltimbanques est un beau roman sur la dérive d’un héros sans attaches et qui cherche un point de chute. […] La dernière partie du livre, où Nathan pousse l’errance jusqu’à la limite - territoriale puisqu’il échoue devant la mer, sociale puisqu’il frôle la clochardisation -, avant de rebondir, est lumineuse. »