Laëtitia Favro, Le Journal du Dimanche
« Au diapason des paysages qu’elle décrit, la plume de Cécile Coulon se dépouille du superflu pour ne garder que le trait vif, le verbe accrocheur, et ce qu’il faut de mystère pour retenir son lecteur dans ces contrées hostiles. L’universalité de son histoire se retrouve en germe dans les plus infimes détails, confirmant l’acuité d’un regard à la fois sensible et critique. »