Née en 1958, Marie Kelbert a enseigné les lettres en Bretagne, à Johannesburg et à la Réunion. Depuis une vingtaine d’années, elle se consacre à l’écriture : carnet, stylo, (smartphone...) et sens de l’observation constituent son réjouissant bagage. Si Toulouse est son ermitage aujourd’hui, la Bretagne est son port d’attache. Inspiré par sa terre natale, le Finistère qui l’a vue naître, Le Buzuk est son premier roman. Elle précise toutefois qu’il n’est pas autobiographique : « Je n’ai ni chien, ni filles, ni petits-enfants et je ne suis pas veuve… ».
Photo : Franck Ferville © Flammarion